La baisse du coût immobilier tant attendue et espérée n’arrive toujours pas à Paris. Selon les agences partenaires de Dmaisons Languedoc Roussillon, les coûts des immobiliers anciens continuent à résister. La réorientation n’est pronostiquée qu’à la rentrée.

 

Selon la chambre des notaires de Paris-iles-de-Frances, les prix du mois de mars et de mai n’ont montré qu’un léger recul de 1.3 %. Par ailleurs, le tarif moyen est resté à 8 340 euros le mètre carré. Alors qu’il valait 8 340 euros lors de la baisse historique du mois d’août.

 

Rien ne laisse entendre une future amélioration sur le marché. Au contraire, les études récentes annoncent une quatrième augmentation consécutive. Il s’agit à la fois d’une hausse symbolique soit de 0.4 %, mais qui met pratiquement les réductions de janvier et février en désuétude.

 

Malgré cette difficulté, bon nombre d’investisseurs n’hésitent pas à placer dans la pierre. Le taux généralement bas attire de plus en plus d’emprunteurs pour l’achat d’un logement dans les immeubles de prestige tels que les appartements Ales.

Sur douze mois, les prix dans le capital n’auraient perdu que 1.5%, dont 3.8 % sur deux ans. En revanche, avec une variation qui dépasse rarement les 1%, on peut constater une stagnation des prix au niveau national.